

Sont les photos qui ont inspiré ce diorama...
La première approche de ce diorama constitue à monter le Junker Ju.52 qui sera posé en situation, venant ravitailler Pitomnik, l'aérodrome le plus proche de Stalingrad où est encerclée la 6ème armée du général Paulus (et non pas Von Paulus comme l'ont prétendu les russes après sa reddition, pour lui donner beaucoup plus d'importance) je ne reviendrais pas sur l'historique de cet avion mythique, il est donné au début de la premièere partie de cette rubrique...
La maquette est de la marque Italieri, d'excellente facture et est très facile à monter, bien entendu, cette facilité n'empêche pas toutes les précautions inhérentes au montage des plans de l'avion, mais maintenant, je pense que c'est, pour vous, un jeu d'enfant... Comme à l'accoutumée, on commence par le poste de pilotage, ce qui sous-entend que l'on a monté et peint les membres de l'équipage avant de les placer dedans...

Préparation de la maquette :
J'ai décidé de peindre les pièces en blanc (intrados, extrados, carlingue) avant montage, pour la simple raison qi'il est beaucoup plus pratique de peindre des grandes surfaces à plat.

Le montage en lui même s'avère très facile, si l'on respecte, les précautions habituelles... ci-dessous : la carlingue

Installation des mitrailleuses latérales dans les vitres (elles sont peintes en Humbrol métal côte ref 24003 ):
Collage des autres vitres latérales et du toit :

Montage des ailes, de la dérive et des moteurs après peinture préalable de ces derniers :
La plupart des Ju 52 étaient équipés de roues, même en russie, quelques uns cependant avaient des skis, j'ai donc opté pour de type d'acessoire le trouvant plus original :

Une fois le collage de la verrière effectué, il n'y a plus qu'à le peindre, avec patience et un pinceau n° 000 :



L'avion vieilli.

L'avion terminé...
Fabrication du sol de la seconde partie de ce diorama consacré à Stalingrad :
Une plaque de polystirène de la même épaisseur que celle de la première partie est nécessaire. En effet, il faut que les deux parties, une fois jointes, soient à la même hauteur. Il suffit d'y creuser des trous de bombes! Attention, les trous de bombes n'ont rien à voir avec les cratères que l'on observe sur certaines planètes, ils ne sont pas déguliers, ni de forme circulaire :




Maintenant, il s'agit d'aménager cette partie qu terrain. j'ai considéré que l'avion eétait à l'arrêt, en bout de piste et que l'on ceveit de terminer de décharger de sa cargaison Le reste est "meublé" suivant l'inspiration.
Le tas de cadavres :
Stalingrad en hiver, il fèle et on ne peut pas creuser la terre pour enfouir les morts. Il y a donc un fas de cadavres en attente de sépultures, ils sont congelés et posée près de deux tombes creusées à l'autmne précédent.

Une fois collé en position, on recouvre le tas de colle à bois et de bicarbotate de sodium (mélangés) :

Les cadavres à côté des tombes...
Les croix sont en bois taillées au cutter, les casques allemands sont des accessoires de figurines de la marque Preizer, les monticules des tombes : colle et bicarbonate...
les figurines :
Certains portent la tenue hivernale, s'autres non, les Allemands n'en avaient pas pour tout lr mondr. certains se camouflaient avec des draps blancs sur leur uniforme d'été il y zn quelques uns dans le dio...
Le général Paulus est , bien entendu, représenté, debout, près de l'avion. il discute avec un major de la waffen SS en tenue d'hiver, ses galons sont sur sa manche gauche.

le général Paulus

pendant ce temps, l'avion a été déchargé. Les caisses sont soculptées dans des petits morceaus ce balsa, puis peintes.

Poste de Pak 40, derrière une palissade e, à côté d'un trou de mitrailleuse...

Le diorama terminé :

Pitomnik, hiver 1942,
Meilleurs souvenirs de Stalingrad...
Qu'en pensez-vous?
superbe , la juxtapostion des 2 dioramas
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