mardi 8 septembre 2009

Un Loup gris dans l'Atlantique...




Les photos qui ont inspiré le diorama
Une fois n'est pas coutume, et ayant reçu une magnifique maquette d'U-Boot au 1/72ème pour mon anniversaire, j'ai renoué avec une vieille passion, abandonnée en 1982 : les bâteaux... j'ai, de plus, toujours été impressionné par la vie à bord d'un sous-marin et, quand je regarde les photos des hommes d'équipages, je suis impressionné par leur jeunesse, certains n'avaient pas vingt ans et beaucoup d'entre eux sont restés à jamais au fond des océans. Ce diorama est aussi, une sorte d'hommage à leur jeunesse ruinée...
La Maquette : Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle est impressionnante! Même au 1/72, (petite échelle s'il en est), la bête mesure 94,3cm de long!! c'est très bien, mais cela présage d'un diorama en conséquence. La qualité est irréprochable au point de vue des finitions ; La marque Revell a mis le paquet! (heureusement parce qu'à 70€ on pouvait s'attendre à quelque chose de bien, je ne suis pas déçu!)
Le montage : peu de difficultés dans le montage des pièces , le livre de plans est très clair là dessus. ici deux options sont possibles : laisser les ouvertures de la coque telles qu'elles (elles sont gravées en creux) ou les trouer réellement. j'ai opté pour la seconde solution et là, il faut bien dire que c'est un travail de patience... Il ne faut pas non plus se tromper dans le choix de l'outillage pour percer ces ouvertures. Personnellement j'ai choisi une mini perceuse munie d'une fraise de dentiste, qui, de toute façon, ne s'inserrait pas dans le mandrin de ma drémel.


C'est le travail le plus fastidieux et le plus ennuyeux possible, assez délicat aussi parcequ'il importe de ne pas déformer les évents, ni de laisser la fraise s'engluer dans le plastique qui chauffe à la rotation... Donc patience, c'est le seul conseil que je peux donner à un éventuel adepte du perçage...

Le montage de la coque est un peu délicat et il faut bien veiller à ce que les entretoises soient correctement positionnées. Serrez le tout avec quelques tours de scotch répartis en trois points sur la longueur...


Le plus délicat est de coller le pont! Il se présente en trois morceaux.je conseille de coller ceux de la proue et de la poupe et, enfin, celui cu centre qui soutiendra le kiosque. Là, il faut user d'une technique spéciale. En effet, le collage des daux premiers ponts on resseré les bords de la coque. Il faut donc forcer quelque peu l'écartement pour pouvoir entrer correctement le pont central. La difficulté consiste à maintenir le bon écartement(qui doit être supérieur à la largeur du pont) tout en inserrant le pont, enduit de colle sur tout le long des bords.Un morceau de bois (pique pour olives) fera perfaitement l'affaite à condition de nouer en son centre un long morceau de ficelle (ficelle à rôti). faire dépasser la ficelle de la coque et, une fois le pont central en place : tirer un coup sec sur la ficelle cela cassera l'écarteur, la coque se refermesa sur le pont et collera. On enlève ou non, le cure dents de la coque, cela n'a aucune importance. Le mien est sorti sans que je m'en inquiète, bien plus tard, alors que j'en étais à la peinture... Le pont collé

Le kiosque : C'est bien le plus délicat à monter. Si le plan est très clair et les pièces très détaillées, Attention au dégrappage! Les pièces cassent de peur! Là, j'ai passé beaucoup de temps à réparer, recoller ou refaire des morceaux qui s'étaient "envolés" au dégrappage. C'est surtout à la coupe que les pièces cassent et pourtant, il faut bien les enlever de leur support plastique... Alors, ici aussi : patience, doigté et courage...
Montage à blanc du kiosque.


Détails intérieurs

Collage du kiosque
Pendant tout le montage, il est indispensable de faire des essais à blanc. Le collage du kiosque est, lui aussi, délicat.il faut qu'il soit bien collé sur toute sa surface. Obligation d'utiliser des pinces de serrage.

Les canons : Le montage des canons est assez facile si l'on prend la précaution de travailler doucement et avec prudence (encore une fois, les pièces cassent de peur au dégrappage)

Attention ; ici il faut anticiper : si vous peignez votre U-Boot à l'aérographe, il ne faut pas monter les canons, les peindre à part et les coller ensuite. Je suis un inconditionnel du pinceau, donc la question ne se pose pas...
Fin de montage des détails du kiosque cette fois, collé définitivement sur le pont.

La peinture : La première étape de peinture est d'enduire le pont d'un jus (humbrol noir et Essence à briquet ou whyte spirit), dans le but de marquer tous les interstices gravés en creux,entre les lattes. Si cette opération n'était pas effectuée, le pont perdrait tout son relief à la peinture (quel que soit l'outil choisi)

Une fois le pont sec, on peut procéder à la peinture proprement dite...Ici, deux écoles s'affrontent. Mes amis d'un club virtuel de maquettes prônent, pour la majorité d'entre eux, l'utilisation de l'aérographe ; il est vrai que j'avais un doute, en considérant la surface à peindre! d'autant plus qu'il faut, à tout prix, éviter les coulures! (pour toutes les autres maquettes également, mais celui-ci, compte tenu de sa surface, s'annonçait des plus délicats...) N'ayant pas d'aérographe et rechignant à engager des frais (assez considérables en l'occurence) pour l'achat d'un aérographe, je décidais de m'en repettre à mes pinceaux. Et je ne suis pas mécontent du résultat!
Le vieillissement : Evidemment, l'U-Boot ne sort pas d'usine! il a (je préfère) quelques bonnes missions derrière lui, il faut donc le rouiller. Tois couleurs sont nécesseires : marron moyen, jaune orangé et marron foncé. Outre le pinceau, il est nécessaire de se munir d'une boîte neuve de cotons tiges. On applique d'abord le jaune (essuyé presque immédiatement au coton tige de façon à ce qu'il ne reste guère qu'une auréole), puis le marron plus clair, (et re coton tige , un neuf à chaque fois) et enfin le marron foncé, avec parcimonie (que l'on tapotera avec un troisième coton tige, pour rendre un effet de grain comme pour le métal déjà bien attaqué. chaque point de rouille nécessite trois cotons tiges, c'est dire s'il en faut!)
L'U-Boot (presque) terminé

Vous avez sans doute remarqué les cables d'antenne qui relient le kiosque à chaque extrêmité du navire. Revell fournit une bobine de fil facile à poser avec les poulies, mais qui se révèle désastreux à la peinture! Des boules de peinture se forment et on ne peut plus les enlever... J'ai remplacé ces fils par du fil extrèmement fin, en laiton. Plus aucun problème de peinture.

Le diorama : La maquette, nous l'avons vue, est plutôt grande. Je me suis demandé ce que j'allais bien pouvoir réaliser comme diorama autour. Une des solutions eut été de mettre mon sous-marin dans l'Atlantique, en émersion ou en plongée, mais cela a déja été réalisé (et fort bien au demeurant) par un ami du club virtuel auquel j'appartiens. Il me fallait donc trouver autre chose, bien que cette première hypothèse était, à mon sens, la plus simple. Je décidais de fabriquer un diorama qui montrerait l'U-Boot en cale sèche. Je vous le dis tout net : c'est un travail énorme! En effet, il faut tout fabriquer à l'échelle, à commencer par la cale (tout part de là) qui ne peut mesurer moins d'un mètre de long pour une quinzaine de centimètres de hauteur. je passais quelques jours à tracer les plans au 1/3 de l'échelle désirée avant même d'acheter les premiers matériaux. Il faut également penser au poids d'une telle réalisation et aller au plus léger. Mis à part le socle en contreplaqué de 15mm, j'ai opté pour le polystyrène extrudé. cinq plaques sont nécessaires. C'est un matériau très léger et peu honéreux, mais il n'en n'est pas de même pour la colle que l'n ne trouve qu'un pot de quelques kilos. mais je k'ai utilisée à d'autres dessins, en plus de sa fonction initiale.

les plaques de polystyrène découpées et collées entre elles sur le socle formeront la cale à l'avant, le quai juste derrière et j'y positionnerait des hangars en fond. A droite une porte d'écluse fermera la cale sèche, empêchant le mer de l'envahir. La mer sera à droite (en résine d'inclusion) j'y mettrais un hydravion (au 1/72), histoire de ne pas rompre totalement avec l'aéronautique. Le diorama fera tout de même une longueur totale de 1,44m pour une largeur de 0,50m. Je pense que c'est là le plus grand dio que je ferai jamais. Le volume de la cale est terminé

Dans le mur de la cale, j'ai prévu un décrochement qui sera garni d'un mur de pierres, juste pour casser la motonie du tout béton. Il ma faudra recouvrir les tranches des plaques avec du carton fort et l'enduire de colle pour polystyrène qui imite parfaitement le béton. j'ai également fait plusieurs essais de peintures sur la colle sèche.


Préparation des volumes, quais et hangars


Le mur central : Il est fait avec du stirodur, sorte de pâte à modeler qui durcit à l'air. un ami a bien voulu consacrer un après midi à la fabrication des petits outis en acier dont j'avais besoin pour graver mes pierres. La^pâte une fois étalée au rouleau entre deux gabaris d'épaisseur (ici 4mm), il n'y a plus qu'à graver le mur en enfonçant les outils de différentes largeurs pour figurer les pierres. un tapotage à le brosse à dents donnera aux pierres l'aspect granuleux souhaité.



Le mur gravé

Il suffit ensuite de recouvrir d'enduit à l'eau teinté en noir que l'on frottera immédiatement de façon à ne laisser de produit que dans les interstices des pierres.

Le mur collé

Enduis du mur de la cale (colle pour polystyrène), installation des poutres de protection des coques dans le "frais" et collage du mur. le sous-marin reposera sur des sortes de plots, (en polystyrène) installés dans la couche de colle recouvrant le sol. Ils seront peints imitation béton lors du vieillissement de la cale. En effet, les cales sont assez sales et les murs parsemés d'algues. Les algues seront fabriauées en filasse de plombier peinte en vert, la boue avec un mélange de peinture humbrol marron moyen , du noir à l'eau, de la colle à bois et du sable. Les traces d'hydrocarbures : de la colle à bois et du noir à l'eau.

Le mur sali

Peinture et vieillissement des bordures des quais(humbrol gris et jus de noir à l'eau. il faut éviter l'habituel mélange d'essence à briquet, cela risquerait de fondre le fupport)

Essai de l'U-Boot dans sa cale...

Au fur et à mesure que j'avance dans la diorama, de nouvelles idées me viennent. C'est ainsi que j'ai imaginé installer une grue au bord du quai, sur des rails de chemin de fer. Bien entendu, ce n'était pas prévu initialement. Il n'était pas question de mettre autre chose qu'une voie enfouie, avec des contre rails. Après avoir creusé le polystyrène sur près d'un mètre et 5mm de profondeur, j'ai pu installer mes rails sur un lit de colle. Compte tenu du prix prohibitif d'une grue (52€ sur le marché de la maquette), je décidais de la fabriquer moi même avec les montants et de la carte Evergreen. la grue serait placée sur la plate forme d'un wagon sacrifié pour l'occurence.
L'emplacement des rails creusé (il faut tout de même bien compter une heure trente de travail avec un bon cutter, on épand un lit de colle et l'on y enfonce légèrement les rails (ils sont d'un seul morceau pour éviter les raccords assez moches.


Après avoir mis les rails de niveau, il est possible de commencer l'enfouissement. Tout d'abord les bords exrtérieurs seront garnis d'un ruban de carton puis enduits de colle (toujours la même).les contre rails seront découpés des bandelettes de 2mm de hauteur dans de la carte plastique de 5/10ème et collé es verticales à la loctite (attention, çà colle immédiatement les doigts en cas de contact! Danger!) Une goutte de colle sur chaque traverse.

Les bords extérieurs enfouie et les contre rails collés

Une fois les contre rails bien collés, remplir l'espace ainsi défini avec de la colle pour polystyrène à l'aide d'un couteau de peintre et lisser avec un lissoir (morceau de bois taillé à la bonne largeur).

La voie enfouie

La voie terminée, il convient de la délimiter par des arrêtoirs ; ils sont sculptés dans du balsa.

La grue : Outre qu'il est très difficile d'en trouver au 1/72ème, l'achat d'une grue dans le commerce s'avère assez honéreux (c'est le plus souvent du HO et le prix dépasse les 50€). Le but primordial de l'invention d'un diorama n'ést pas l'investissement, mais bien la rélisation d'un décors à moindre coût, je décidais de construire moi même ma grue, à base de carte plastique et d'autres éléments Evergreen... De plus, il fallait tout de même que je construise d'une façon minimaliste, ne voulant pes perdre de vue ue le principal objet de ce dio est le sous marin et qu'il ne faut pas le faire disparaître dans une multitude de détails.J'entamais donc une semaine "plans". les plans de la grue, sur papier millimétré et à l'échelle. Ce travail est très important pour la découpe et l'assemblage des pièces par la suite :
Tous les accessoires seront établis d'après les plans tracés à l'échelle... Je ne m'apesentirais pas dur les diverses phases de montage de la grue pour vous la présenter (presque) terminée :

Portes d'écluse : Une fois la grue terminée, je me suis attaqué auxportes de l'écluse. Après avoir consulté plusieurs documents présentant diverses écluses, j'obtais pour une porte à deux battants, le modèle le plus courant à l'époque. les plans furent tracés à l'échelle, la réalisation est en carton plume, carte plastique et tiges Evergreen, y compris pour les mécanismes de relevage des vannes. la fabrication des passerelles est assez délicate, mais avec un peu de patience... Il faut ensuite peindre chacune des deux portes, les vieillir, rouiller les ferrures etc...Pour accentuer le réalisme (et me faire plaisir aussi), j'ai ajouté des algues (filasse de plombier peinte en vert) et des moules (grains de semoule fine peints en noir), collées une par une sur les portes, avec de la loctite...

Au début j'avais prévu d'installer trois hangars, mais j'ai préféré n'en mettre que daux et un bâtiment de briques figurant le Quartier Général qui abriterait le bureau de l'AMiral Dönitz. La construction de la façade du QG est basée sur le même principe que celle du mur de la cale, mais la couleur du styrodur est marron. Les plans étant terminés, j'ai découpé le trous pour y mettre les fenêtres et la porte d'entrée découpées eu cutter dans de la carte plastique... Les bords extérieurs, supérieurs et inférieurs de la façade ont reçu une couche de peinture pierre, les huisseries sont peintes en gris avant adjonction des vitres (plaques de plastique transparent d'emballages divers découpées à le mesure et collées à l'arrière des huisseries.)...
L'aménagement intérieur du bureau de l'amiral comporte du parquet, un bureau (en carte plastique, comme la lampe de bureau) et divers accessoires...


L'intérieur du QG terminé :


Le QG terminé (toiture et murs)

Quelques explications : Les murs (sauf la façade) sont en carton plume, les étages intérieurs sont délimités par le même matériau, du parquet a été collé au ré-de-chaussée et au premier étage, au milieu du 1er étage se trouve le bureau de l'amiral. Le toit du bâtiment est en polystyrène, les pans découpés au cutter et les ardoises marquées au porte mine avant peinture. Le zinc est fait de corolles de bouteilles de vin découpées, mises en forme et collées à l'araldite. Les gouttières sont en papier photo d'imprimante peintes en humbrol métal, la descente de gouttière est en tige Evergreen, les raccords de gouttières et de descente en scotch métal autocollant.l'ensemble du bâtiment est collé sur un support polystyrène léger dans lequel j'ai découpé les marches du perron au cutter avant peinture humbrol gris.
Les hangars : Voici une vue générale du diorama. Les portes de l'&cluse ont été collées, le fond de la mer (en vert et jeune) est collé. Pour la petite histoire, c'est un ami de Dijon, Vincent, qui me l'a peint à l'aérographe sur un carton plume. Qu'il soit ici remercié.Bien entendu, le fond marin ira jusqu'au bord des portes de l'écluse, sur la photo, je n'ai pas encore installé cette partie. Les hangars sont en carton plume recouverts de colle pour polystyrène appliquée au couteau à peindre et peints en gris. Attention, le carton plume a la fâcheuse habitude de travailler et l'enduit puis la peinture provoquent irrémédiableent une déformation concave des murs. J'ai réussi à la corriger en appliquant le même enduit et la même painture sur les faces intérieures, rétablissement ainsi l'équilibre des forces. Les toits sont en polystyrène, les demi pans découpés au cutter, comme pour le QG. Dans le toit de gauche j'ai aménagé une trappe , creusé un emplacement et quelques marches pour accéder au reste du toit. Cet emplacement recevra un canon anti aérien et des servants.les toits sont peints à la peinture acrylique grise (leroy chagrin), la même peinture que celle qui recouvre le sol de labase. Le sol a été sali avec du noir estompé (traces de frainages, taches diverses). SUr la photo de desosous, le fond marin rejoint les portes de l'écluse et le ponton de l'hydravion (à venir) est terminé (carte plastique, chainette et tourillons de bois. Près du QG : une partie du second ponton pour le canot automobile de l'amiral, en petits rondins celui là. L'Opel "Blitz"

J'ai terminé de monter mon premier véhicule, il s'agit d'un camion Opel qui transportera les caisses de légumes ,sac sde pommes de terre et autre ravitaillement pour le sous-marin. J'ai choisi de le peindre en camouflage trois tons, comme l'étaient les blindée et les véhicules allemands en normandie en 1944. D'aucuns me feront remarquer que c'est plutôt un camouflage de l'armée de terre et ils auront raison. les véhicules de la marine allemande étaient gris, mais j'ai voulu sortir un peu de toute cette grisaille et faire un contraste avec l'Opel. De toute manière, il est possible que ce soit un camion prêté par la Heer à la marine, la Heer administrait tous les bâtiments militaires, y compris ceux de la marine...

Un petit aperçu des caisses de légumes au 1/72 : Une partie du ravitaillement pour le sous marin, installé dans l'Opel non peint.

La base sera emplie de véhicules divers et d'artillerie antiaérienne, ainsi que de nombreuses figurines.

Le KFZ 21 de commandement :



Maquette de la marque "ACE", commandée en Ukraine (comme la traction visible dans un autre dio), elle est assez difficile à monter et il y a pas mal de regravure à faire. Je ne conseille pas cette maquette à un débutant. La traction était cependant beaucoup plus facile à monter.



MERCEDES BENZ six roues :


De la marque Hazegawa! Une merveille de montage, un plastique de grande qualité et des détails parfaits. la peinture Humbrol noire des garde-boues a été vernie en brillant, contrairement à la carosserie laissée en gris mat. Cette voiture est accompagnée de six figurines assez bien détaillées :


Les figurines sont peintes

Le KFZ.17 Voiture radio :






















































































































































































1 commentaire:

  1. beau travail...plus je regarde tout cela...plus je me dis que ne suis pas fou à construire autant de maquettes et de dioramas...nous sommes tellement nombreux à pratiquer cette passion....Je regrette simplement de ne pas pouvoir en avoir fait mon métier...et c'est passé à 2 doigts!

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